Publier une déclaration publique contenant de fausses informations et se faire passer pour un journaliste professionnel est puni par la loi.
Que se passe-t-il dans la presse ?
Des influenceurs se faisant passer pour des journalistes professionnels et de nombreux sites web publient des informations illégalement.
Des extraterrestres ont envahi les réseaux sociaux, avec des Insultes et diffamations, de calomnie, d'atteinte à la vie privée et de tournages de films dans des lieux publics, Des photos sont ensuite publiées sans prendre la permission.
Certaines personnes sont également la cible d'outrages à la pudeur, ce qui les expose au chantage et à la diffamation.
N'importe qui possédant un smartphone filme désormais tout et viole la vie privée d'autrui. Ils enregistrent également les appels téléphoniques et les publient sur les réseaux sociaux pour créer le buzz et diffamer autrui.
Notre journal Ach hada a reçu un communiqué d'une influenceuse marocaine , Elle s'appelle Donia Filali et a publié un communiqué sur les réseaux sociaux, contenant une série de fausses informations , Elle y affirmait : " Nous sommes un couple de journaliste Marocaine et défenseurs des droits humains..."
Et elle a ajouté : " ..... depuis des années, après un long combat judiciaire, plusieurs décisions ont été rendues en notre faveur contre des institutions relevant du ministère de l'intérieur.
Pourtant, celles-ci refusent toujours de les exécuté et maintiennent un silence administratif juridique de la France en matière de droit humains...."
Elle s'est présentée comme une journaliste professionnelle marocaine persécutée en France.
Selon une source fiable, l'influenceuse Dounia filali se fait passer pour une journaliste, elle ne possèdent pas de carte de presse professionnelle marocaine.
Certaines personnes, se font passer pour des journalistes marocains et exploitent leurs relations avec des intrus dans le secteur dans le domaine des droits humains marocain, afin de bénéficier d’un logement dans la maison des journalistes, qui est un bâtiment de 14 pièces, pas assez pour loger même des journalistes professionnels.
La maison des journalistes MDJ est une association fondée en 2002 par la journaliste Daniele Ohayon , elle accueille et accompagne des professionnels des médias contraints a l'exil, venus trouver des refuge en France " d'après MDJ.
C'est à dire que ce logement responsable est destiné aux journalistes et n'a pas été créé pour héberger les influenceurs ???
Pratiquer le journalisme n’est pas un passe-temps que peut pratiquer quelqu’un qui n’a pas la formation et les compétences nécessaires pour le faire de la meilleure façon, ni une profession pour quelqu’un qui n’en a pas.
Se faire passer pour une profession réglementée constitue une atteinte à la pratique journalistique et une insulte aux journalistes professionnels, qui exercent sous pression professionnelle et juridique et sont victimes de restrictions à leur liberté d'expression et aussi pour ceux qui diffuse de fausses informations dans le but de bénéficier de privilèges propres à une profession réglementée et se faire passer pour un journaliste professionnel est inacceptable et constitue un acte criminel.
Chaque année, lorsqu'un journaliste professionnel souhaite renouveler sa carte professionnelle, il se heurte à de nombreux obstacles et conditions insupportables qui peuvent l'empêcher de la renouveler, alors que sa validité est obligatoire et garantit sa sécurité et cela garantit sa continuité dans l'exercice de son travail professionnel.
peut-être le journalisme est-il la seule profession au monde qui exige au journaliste de renouveler sa carte professionnelle chaque année malgré le fait d'avoir un numéro professionnel, sans tenir compte du facteur d'ancienneté ou d'âge, alors que certains influenceurs apparaissent, travaillant dans le domaine en toute liberté, sans restriction ni condition, en dehors de la loi, alors que le journaliste professionnel est appelé à respecter l'éthique de la profession.
Il doit adhérer au Code d'honneur et soumettre chaque année un dossier complet, comprenant tous les documents nécessaires au renouvellement de sa carte dans un délai limité. Il doit également signer un document par lequel il s'engage à respecter les obligations contenues dans les textes législatifs et réglementaires relatifs au journalisme et à l'édition, ainsi que dans le Code de déontologie de la profession de journaliste.
Aicha samlali